Philippe Colin-Olivier est l’auteur d’une douzaine de romans. Récemment, Le Bal des débutants et Qui a tué le maire de Paris ? En duo avec la journaliste Laurence Mouillefarine, il est aussi l’auteur de Vous êtes riche sans le savoir. Il a également été scénariste pour la télévision.
Selon les critiques littéraires, il se singularise par un sens aigu du burlesque,
des dialogues drôles et satiriques.
A propos de « Corps d’élite »
« S’il est un prince du burlesque, l’auteur a aussi le chic des trouvailles purement littéraires ». Antoine Laurain, Service Littéraire.
« Drôle et incisif, ce livre vous rappellera les dialogues de Molière… C’est bien vu et férocement jubilatoire ». Xavier de Marchis, Le choix des libraires, Télé Matin, France 2
A propos de « Tableaux d’honneur »
Un nouveau polar aussi captivant et hilarant que les précédents. Pour Philippe Colin-Olivier, « Costes a une cervelle de protozoaire » et Detoni est si snob qu’il est du genre « à vouvoyer sa bite ». On en redemande ! Yasmine Youssi, La Tribune.
« On sent que Philippe Colin-Olivier s’est régalé. Il a le mot juste, le verbe vengeur, l’intrigue sans faille. « Tableaux d’honneur » mérite une médaille ». François Cérésa, Madame Figaro
A propos de « L’Actrice »
« C’est génial ! Des phrases extraordinaires : « Un producteur à pied, c’est comme un ministre en autobus, c’est une fracture sociale ». C’est drôle, plein de rebondissements ». Gérard Collard, LCI, Les Coups de coeur des libraires.
« Jamais, depuis La Cité de la peur, le chef d’œuvre des Nuls, le Festival de Cannes n’aura été aussi amusant ». Valérie Lejeune, Le Figaro magazine.
A propos de « Festival de came »
« L’écrivain aime panacher l’invention langagière d’un Frédéric Dard, avec l’atmosphère truculente des Tontons Flingueurs d’Audiard et Lautner. » Olivier Delcroix, Le Figaro.
A propos de « L’Approche »
« C’est un festival, une intrigue tendue comme un ressort, un sens de l’image étonnant et un humour qui fait mouche. » Gérard Meudal, Le Monde.
« Dans une rafale de formules assassines, il scrute, narquois, les embrouilles et les coups fourrés. Le lecteur se pourlèche ». Christian Gonzalez, Madame Figaro.
A propos de « Un bon président »
« Doué pour la satire, la caricature, la bouffonnerie, le burlesque, les faux sérieux, les traits aigus qui font mal, la cruauté et la férocité, l’auteur réussit un roman policier qui est un tableau de moeurs. » Yves Berger, Nice Matin.
« Une joyeuse mascarade, racontée avec une désinvolture jubilatoire. L’hôte de l’Elysée en question ne serait pas un honnête homme. Des répliques comme celle-ci : Pour les infos je ne fais confiance qu’à « L’Equipe » et au « Chasseur français ». » Olivier Barrot, Télé 7 jours.
A propos de « Qui a tué le maire de Paris ? »
« Je recommande ce livre… Un roman très drôle, très satirique. Un vrai sens du dialogue ». André Bercoff, Sud Radio
Roland Arezzeau, milliardaire à la fois cynique et généreux, est frappé d’une maladie neurologique. Affaibli, craignant pour sa sécurité, il engage deux gardes du corps singuliers, Costes et Bernstein. L’un,…