Contes à rebours et nouvelles fraîches
Un roman, c’est peut-être mieux, mais il faut être un marathonien. Je suis plus à l’aise à courir le cent mètres. Et certains lecteurs aussi, je crois.
Parce que, voyez-vous, gambader à la pêche aux nouvelles, quel bonheur ! On s’arrête sur les berges d’un étang ou d’une rivière. On lance sa ligne… et soudain le bouchon tremble… une rencontre, un souvenir, une anecdote et hop ! le bouchon plonge. Une idée a mordu à l’hameçon ! On ferre. Il reste à la cuisiner, à bien raconter. Et on reprend la gambade.
Puisse le lecteur prendre le même plaisir à déguster ces nouvelles que j’ai pris à les pêcher.
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